AMERICAN SNIPER (Clint Eastwood) 

Réalisateur :

Si on me demandait de ne retenir qu’un seul réalisateur, je n’hésiterais pas une seule seconde et dirais Clint Eastwood. Pourquoi ? Parce que je considère que c’est lui qui m’a fait aimer le cinéma (Million Dollar Baby), lui qui a signé le plus grand film d’amour à mes yeux (Sur la route de Madison), lui qui a signé quelques-unes des plus belles réussites de ces dernières années (Lettres d’Iwo Jima, L’échange, Gran Torino). Et même s’il apparaît un peu moins en forme ces derniers temps (Au-delà ou Jersey Boys), il reste le dernier grand hollywoodien et j'irai toujours voir ses films avec énormément d'excitation…

Casting :

Dans le rôle principal, on retrouve Bradley Cooper, qui, décidemment, est devenu un acteur « sérieux », alors qu’il n’était au départ qu’un bellâtre pour minettes. Il est en tout cas encore nominé aux Oscars, en tant que meilleur acteur et c’est la troisième année d’affilée (pour Happiness Therapy puis pour American Bluff en tant que meilleur second rôle). Pour ce qui est des seconds rôles, on retrouve Sienna Miller et beaucoup de jeunes acteurs encore pas très connus. 

Scénario :

C’est devenu le plus gros succès de l’histoire de Clint Eastwood (alors que ce n’est pas son premier film…) et aussi celui qui a le plus défrayé la chronique. En effet, on a rarement vu autant d’articles et même de unes sur ce réalisateur. Il faut dire qu’American Sniper raconte l’histoire de Chris Kyle, le sniper qui a tué le plus de personnes au cours de la guerre en Irak. Alors, est-ce un long métrage de propagande pour l’armée américaine ? Le destin d’un homme entraîné dans un destin malgré lui ? Il faudra le voir pour pouvoir juger. Tout ce que je peux dire est que j’ai hâte, surtout que je pourrai le voir en V.O. !!

Degré d'envie de voir ce film : 99%

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KINGSMAN : SERVICES SECRETS (Matthew Vaughn)

Réalisateur :

Même s’il n’était pas un complet inconnu, c’est quand même Kick-Ass qui a véritablement révélé Matthew Vaughn à la face du monde. Il faut dire que ça reste un des longs métrages les plus surprenants que j’ai pu voir (dans le sens où je ne m’attendais pas du tout à ça). Violent, survitaminé, fun comme tout, ça avait quelque chose de vraiment décoiffant. Depuis, il a un peu changé de style en mettant en scène X-Men : le commencement.

Casting :

Pour le coup, c’est du très lourd avec en tête d’affiche un Colin Firth qui devrait prendre plaisir dans un rôle éloigné de tout ce à quoi il a l’habitude ces dernière années, un Samuel L. Jakson toujours amusant dans des rôles borderline et des noms comme Mark Strong ou Michael Caine. Sans compter les apparitions de David Beckham ou Lady Gaga. Bref, de ce côté-là, c’est plutôt excitant.

Scénario :

Décidément, c’est son truc : Encore une fois, Matthew Vaughn met à l’écran une bande dessinée qui date de 2012. L’histoire d’une agence secrète d’espions qui va devoir arrêter Richmond Valentine, un criminel doué par les nouvelles technologies. Ça ne paraît pas folichon sur le papier mais on peut espérer que l’esprit un peu foufou du réalisateur en fasse quelque chose de bien plus excitant dans les faits.

Degré d'envie de voir ce film : 40%

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BIS (Dominique Farrugia) 

Réalisateur :

Si Dominique Farrugia était un membre  éminent des Nuls (avec, notamment Alain Chabat et Chantal Lauby), on ne peut pas dire que sa carrière derrière la caméra fut une immense réussite. C’est même assez catastrophique puisqu’aucun de ses films n’a véritablement fonctionné (si ce n’est, peut-être L’amour c’est mieux à deux). Avec les services de deux des acteurs les plus bankable du moment, il peut espérer faire un peu mieux.

Casting :

Kad Merad et Franck Dubosc, ce sont deux des acteurs qui, normalement, font venir des gens dans les salles. Personnellement, j’ai plutôt du mal avec eux, mais bon… Associés à quelques seconds rôles réputés (Alexandra Lamy, Gérard Darmon ou Julien Boisselier), ça commence à donner un casting qui a de l’allure. Après, reste à bien diriger tous ces acteurs. Et là, c’est un peu la grande inconnue...

Scénario :

Même si l’idée n’est pas d’une originalité folle (et un film américain sorti en 2010 – La machine à démonter le temps – utilisait le même concept), c’est le genre d’histoires qui peut découler sur un certain nombre de bons gags (Les visiteurs, c’était d’ailleurs également un principe identique). D’ailleurs, on en voit pas mal dans la bande-annonce. Et j’ai le pressentiment que, justement, presque toutes les bonnes idées y sont concentrées. En tout cas, c’est l’effet que ça donne…

Degré d'envie de voir ce film : 30%

Et vous, lequel auriez-vous le plus envie de voir ?

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