LE LABYRINTHE DU SILENCE (Giulio Ricciarelli) 

 

Réalisateur :

Bien que son nom ne l’indique pas forcément au premier abord, Giulio Ricciarelli est bien un acteur et réalisateur allemand, qui n’a jusque-là, pas trop fait parler de lui de ce côté du Rhin (et j’ai même l’impression qu’il n’est pas très connu en Allemagne non plus…). J’ai donc du mal à en dire beaucoup plus si ce n’est que c’est donc son premier long métrage à connaître un destin international.

Casting :

Du côté des acteurs, c’est un peu la même chose puisque le rôle principal est tenu par Alexander Fehling, un peu inconnu au bataillon même s’il faisait une brève apparition dans Inglorious Basterds. Il est, paraît-il, assez incroyable dans ce rôle et serait donc l’une des révélations de ce milieu d’année.

Scénario :

Le cinéma allemand est dans une période où il ne semble plus hésiter à regarder en ailleurs et revenir sur les heures sombres de son histoire. Après La vie des autres ou encore Barbara, c’est une nouvelle fois le cas ici avec ce long métrage qui parle de l’obstination d’un jeune procureur à poursuivre les criminels de guerre nazis, le tout dans une Allemagne qui essaie plutôt de fuir son passé. J’espère vraiment un film de la même force que les deux précédemment cités. Même un peu moins et ça serait déjà pas si mal !!

Degré d'envie de voir ce film : 70%

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CONNASSE, PRINCESSE DES CŒURS  (Eloïse Lang et Noémie Saglio)

Réalisatrices :

C’est simple puisqu’il s’agit des deux créatrices de la pastille humoristique, née sur petit écran, dans le Before de Canal+. Rien d’autre à dire sur leur parcours respectifs…

Casting :

Camille Cottin, celle qui joue la « connasse » originelle, reprend donc son rôle et, comme pour la télévision, il n’y a pas d’autres acteurs puisque sont filmées des situations où de vraies personnes sont filmées, sans être forcément au courant.

Scénario :

Pour dire la vérité, depuis que je regarde très peu Canal+ (dont l’esprit volontairement toujours dérisoire a fini par m’agacer), j’ai un peu déconnecté de toutes ces mini-séries et de ces personnages qui en découlent. Donc, je n’ai jamais vu cette « Connasse » qui a tant fait parler, tellement qu’elle a même droit à un film. La question que je me pose est la suivante : comment passer d’un format très court (deux minutes tout au plus) à un long métrage (pas si long que ça puisqu’il dure moins d’une heure et demie) ? Les exemples récents (Brice de Nice ou Chouchou) n’ont pas donné de grands résultats, pour dire les choses gentiment…

Degré d'envie de voir ce film : 20%

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NOS FEMMES (Richard Berry) 

Réalisateur :

Je ne suis déjà pas un immense fan du Richard Berry acteur mais son précédent film (L’immortel) m’a complètement dégouté du Berry réalisateur. C’est franchement un des pires films français de ces dernières années. J’ai eu un peu de mal à m’en remettre et j’ai finalement assez peu envie de renouveler une telle expérience.

Casting :

En plus de Richard Berry, qui est aussi acteur principal ici, on trouve Daniel Auteuil et Thierry Lhermitte, autant dire des acteurs quand même assez sérieux. Et vu que, visiblement, on ne voit presque qu’eux pendant un peu plus d’une heure et demie, ils ont intérêt à être bons !

Scénario :

Berry met en scène l’adaptation d’une pièce de théâtre (dont il s’occupait déjà pour le théâtre), écrite par Eric Assous (co-scénariste de L’immortel, aïe aïe aïe…). L’histoire de l’amitié de trois hommes, mise à rude épreuve lorsque l’un deux arrive à leur rendez-vous hebdomadaire en annonçant avoir étranglé sa femme. La suite…

Degré d'envie de voir ce film : 1%

Et vous, lequel auriez-vous le plus envie de voir ?

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